Elfheim, le Monde des Dieux
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Gwenael Ô'Riain → Fin

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Gwenael Ô'Riain
Gwenael Ô'Riain

Messages : 18
»» Age : 38

« I Want Know More »
»» Race: Darkscens
»» Pouvoir: Création d'un couteau plus ou moins gros
»» What else ?:

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MessageSujet: Gwenael Ô'Riain → Fin Gwenael Ô'Riain → Fin EmptyMar 5 Juil - 2:19

« Ó'Riain Gwenael » feat Kaito

    Gwenael Ô'Riain → Fin 514664gwenicone1
    © ICONS : I.A/Gaby
    SURNOM(S) : Gwen', Valee...
    AGE : 25ans
    RACE : Darscens
    GROUPE : Maître
    SEXUALITÉ : Bisexuelle tendance Hétéro
    POUVOIR : Création d'un couteau plus ou moins gros à partir des ombres...

« Tout le monde est différent »



© I.A/Gaby
Description Physique
Ses baisers laissaient à désirer... son corps tout entier.
[Woody Allen]

< /div>
Un chasseur, s'il veut des trophées par dizaines, doit savoir comment attirer ses proies à lui. Il doit, par son apparence, afficher le parfait mélange de séduction et de froideur. Un voile de mystère doit planer devant ses yeux mais un demi-sourire charmeur doit planer sur ses lèvres. Pour être désiré, il doit avoir l'air peu intéressé mais savoir, en temps voulus, prendre part au jeu de l'amour.
Voici une description plus ou moins complète des trais et expressions que peuvent prendre le visage de notre protagoniste, dans certaines situations. Dans d'autres, quasiment la totalité du temps, il s'emmure dans un masque dur et froid qui parfait son image et sa réputation. Étrangement et malgré ses incessants changements d'humeurs, il n'en montre jamais rien. Il est plus du genre à réfléchir à des plans et, enfin, à les mettre en actions.
Pourtant il n'a pas vraiment un physique de méchant, c'est plutôt le contraire. Un visage fin surmonté de cheveux blonds à la manière d'un ange tombé tout juste du ciel ainsi que des lèvres roses, presque enfantines. Il n'y a qu'un détail qui jure. Pas des moindres. Ses yeux, aussi rouges que le rubis qui orne sa bague. On dit qu'en de rares occasions il est possible de voir chacune des étoiles qui constelles le ciel danser dans ses yeux. Si c'est vrai, ce ne doit pas arriver très souvent.
Quant au reste de son corps... Que dire? S'il a une certaine réputation auprès des femmes ce n'est pas dût seulement à sa verbes. Musclé il l'est oui. Entre l'élégance et le surplus. Disons que son corps est bien sculpté et qu'il n'est pas désagréable de sentir son étreinte contre sa peau.
Pour finir il a, de manière générale, une aura ferme et dominatrice qui a tendance à écarter les indésirables de son chemin qui fait que vous ne pouvez douter un seul instant de son rang...
Vous laisserez-vous impressionner ?




© I.A/Gaby
Description Psychologique
Il n'y a guère que les gens malsains qui se sentent exister.
[Maine de Biran]

< /div>
Dans ce monde il est indéniable qu'il existe une force que l'on peut appeler le bien. Cette force pousse les hommes à s'entraider en cas de catastrophe, elle nous rend altruiste lorsque l'on est face à la peine... Cependant, croire en le bien, en la bonté sans limite et inconditionnelle, c'est aussi croire au mal, le mal égoïste, qui se délecte de la souffrance. Ensemble, ils forment un équilibre et c'est cet équilibre qui crée la Vie.
Mais si l'on regarde un peu plus intensément en chaque être, on voit que la part de bien et de mal est inégale. Tout au long de sa vie l'Homme fera une série de choix et ce sont eux qui feront de lui ce qu'il deviendra.
Venons-en maintenant à notre protagoniste. Il semble que chacun de ses choix l'aient définitivement tournés vers le mal jusqu'à ce qu'il prenne du plaisir dans la souffrance. Il aime sentir le désespoir, plonger son regard dans ceux de sa victime et n'y voir que terreur.
Mais également, comme toutes les personnes qui détiennent un pouvoir de vie ou de mort sans état d'âme, il est extrêmement vaniteux. Assurément, parmi ses multiples pêchers tels que la colère, la gourmandise et la luxure, c'est sa vanité qui le perdra.
Dans son esprit, il est inimaginable qu'il échoue à quoi que ce soit. Mais il est également impossible pour lui de ne pas obtenir ce qu'il veut ou bien d'ailleurs, qui il veut.
Il élabore toujours des plans pour tout, sans demi-mesure. Hésiter se serait ouvrir une faille à l'échec, avoir pitié se serait être faible. Faille et échec ne font pas partis de son vocabulaire.

Il y a des personnes que l'on ne peut s'empêcher de trouver remarquable. Elles parviennent à rester maîtresses d'elles mêmes en toutes les occasions et pas seulement grâce à un masque dur et indifférent. Elles sont profondément calmes et sereines dans leur âme, au fin fond de leur essence... Il n'est pas de celles-là. Lui, il est prompte à se faire emporter dans le mastodonte de ses émotions. En un clin d'oeil il passe de la colère noire à la joie la plus poignante.
La joie... Chaque personne a sa version de la joie, chaque personne s'amuse de choses différentes. Le burlesque, l'humour noir, la moquerie, tout est bon pour faire rire... Et vous, qu'est-ce qui vous fait rire?




© I.A/Gaby
Histoire
On porte son passé,
tout son passé dans sa chair et son âme,
et il continue de nous miner jusqu'à la ruine.
[Andrée Maillet]

< /div>
¨ Prologue ¨

L'histoire d'une personne est son secret le plus précieux. Une histoire garde en elle toutes les faiblesses, les erreurs, les passions d'un Homme. Je ne fais pas exception. Personne ne doit jamais connaître mon histoire car personne ne comprendrait. Ce n'est pas que l'avis des autres m'intéresse mais la vie et la société étant ce qu'elle est, je ne peux pas me permettre d'offrir des arguments à ceux qui me méprisent. Ainsi après lecture je vous demande, à vous les dieux que je laisse parcourir mon histoire, d'effacer toutes traces de ces quelques pages.

¨ Chapitre I ¨
¨ A la recherche du bonnheur ¨

Je pense ne pas me tromper et n'oublier aucun événement important en décidant de sauter les dix premières années de ma vie. Vous comprendrez que cette période n'est pas très intéressante du point de vue de la trame de l'histoire. Je vais donc vous résumer de manière claire et concise le contexte. Je suis né un jour de neige, dans le manoir familiale situé sur une île qui aurait de quoi effrayer de simples mortels. L'île des dieux. Nous sommes, depuis des générations, des maîtres. Pour les néophytes, je vous explique. Il se trouve en fait que ma famille possède un certain nombre d'esclave dont nous nous servons pour les taches domestiques ou d'autres plus... privées. Ainsi, dés ma naissance, on m'a habitué à être servit d'un claquement de doigt et à toujours obtenir ce que je souhaite. Cependant, comme un grand nombre de cadets, je n'ai jamais vraiment compté pour quiconque malgré la foule de personnes qui m'entouraient. Tous ne voulaient que tirer profit de la renommée de a famille ce dont je ne peux objectivement leur en vouloir même si je les considère sincèrement comme des larves rampant à mes pieds pour des faveurs.
Personne n'attendait donc de véritable exploit de moi et je n'étais même pas destiné à reprendre le nom familial à moins que mes frères décèdent de manière prématurée.
J'ai pris bien vite l'habitude de m'occuper de moi et de moi seul, de me laisser vivre sans me soucier de rien. Rien ne prenait vraiment d’intérêt à mes yeux jusqu'à approximativement mes dix ans.
C'est dans la foret entourant le domaine que ma folie à commencée...

Seul, je parcourais les lieux en courant comme je le faisais souvent, pour le plaisir de me vider l'esprit. Seulement cette fois là, une ombre a stoppé brutalement ma course, manquant de me faire tomber la tête la première dans la rivière. Je me souviens qu'essouffle, j'avais pris quelques secondes pour reprendre mon souffle avant de me retourner, mes cheveux à ce moment long fouettant mon visage dans la vivacité du mouvement. J'avais cherché quelques secondes ce qui avait osé me faire dédier de Mon chemin pour finir par baisser les yeux sur une faible créature apparemment blessée. Loin de m'apitoyer devant cette créature à l'aile brisée, je m'étais accroupis, avais pris un petit bâton et l'avais poussé sans douceur pour vérifier son état. Apparemment bien vivant et souffrant le martyre, l'oiseau avait protesté contre ce traitement à grand coup de piaillement à m'en glacer le sang.
Les yeux bien fixés dans les deux billes noires de la créature, j'ai souris. Il s'agissait d'un sourire froid et cruel à souhait. Un sourire de dément, ce qui devait bien refléter l'émotion qui emplissait mon coeur...

Je suis rentré plusieurs heures après, mon gilet couvert d'un sang poisseux à l'odeur tout à fait délectable, mes cheveux dans une pagaille qui aurait fait hurler notre servante et, malgré tout, fredonnant une chanson geai avec sur le visage le sourire d'un enfant qui aurait découvert le pays aux merveilles...

Les jours suivant, je passais des heures assit au bord de la rivière, cherchant comment attirer à nouveau à moi cette émotion délectable qui c'était emparée de mon coeur... Les jours passaient, la délicieuse sensation de supériorité absolue s'évanouissait lentement, me laissant comme une coquille vide, vagabondant à la manière d'un fantôme dans les grands couloirs avec l'air de celui qui a vu le paradis mais qui en a perdu la clef... Les actions qui étaient autrefois des plaisirs de tous les jours et qui me rendaient la fore n'avaient plus aucun effet sur moi.
Il m'a fallut deux longues années avant d'entrevoir à nouveau la lumière sainte.
L'évènement qui a provoqué mon exaltation, vous en avez certainement déjà entendu parler. Des centaines de rumeurs ont suivis et une seule était la vraie, bien que ce soit la moins colportée tant elle était affreuse. Voici la fameuse histoire, dite par le principale témoin... Moi.

Il était très tard, le manoir était enfoui sous un profond sommeil et j'étais le seul à veiller, assis sur un des grands canapés du salon. Un livre à la main, j'avais l'impression d'être le dernier être vivant sur la terre tant tout autour de moi était d'un calme funéraire.
J'étais si pris par mon récit qu'il m'avait fallu quelques minutes pour remarquer que je n'étais plus seul dans la grande pièce al éclairée. Mon frère de trois ans mon aîné, Raphael, se trouvait devant moi. Comme souvent depuis le jour de ma naissance, nous nous sommes disputés. Seulement cette fois-ci, je n'étais pas moi-même et la colère voilait mon jugement. Je me suis emporté, il m'a suivit dans mon escalade à la fureur et nous en sommes venus aux mains.
La maison avait beau être grande, le bruit que nous faisions fini par rameuter quelques serviteurs qui tentèrent de nous séparer sans résultat évident... Celui qui fit vraiment la différence fut mon père. Un mètre quatre vingt quinze, les cheveux noirs, semblant perpétuellement en costume bien taillé et parfaitement coiffé, les lunettes posées sur le nez.
Il a suffit qu'il entre dans le salon pour que je lâche mon frère qui venait de m'assener un coup sur le nez provoquant un craquement sonore dont les répercutions sont encore visibles aujourd'hui.

«- ... Père!
 - Encore toi. Quand cesseras-tu de nous importuner et de causer du tord à la famille? Depuis ta naissance tu n'as été qu'une source d'ennuis. »


Je vous l'avoue, mon orgueil en a prit un sacré coup. Pétrifié, je n'ai pas esquissé un seul mouvement durant de longues secondes durant lequel tous les regards étaient tournés vers moi sans qu'un seul mot ne soit prononcé. Face à tous les domestiques et esclaves de la famille, mon père venait de m'humilier, moi son propre fils. Je ne pouvais certainement pas laisser ces moins que rien sortir du manoir et colporter la rumeur... Je ne pouvais pas continuer de voir leur visage, de les laisser vivre, après ce qu'ils venaient de voir.
Mes sentiments se mirent en veille alors que je ne pensais qu'à la nécessité. Ils étaient à présent un obstacle. Mon père aussi. Me parler de cet manière méritait un châtiment. - Inutile je suppose de préciser que je hais mon père?-.
A la manière d'un automate, j'ai sortis une boite d'allumette de ma poche. Le plus lentement du onde, laissant chaque personne présente prendre conscience de ce qui se passait, j'ai tiré une tige de bois et j'ai fixé mon père, un sourire froid et cruel étirant mes lèvres d'enfants.

«- Ne vous en faites pas, les ennuies pour vous sont finis. »

Sitôt ma phrase terminée, j'ai craqué l'allumette et l'ai lancé du bout des doigts sur les rideaux, ceux-ci s'enflammant dans la seconde. Je ne sais vraiment pourquoi il ne c'est pas enfui, peut-être par fierté, par orgueil ou bien encore sous la surprise, mais quoi qu'il en soit, il est resté sur place à me fixer de ses yeux froids sans âmes. Mon frère -ce lâche- c'est sauvé aussi vite que possible disparaissant si bien que je ne l'ai plus revu depuis. Les esclaves, eux, ont courus à l'étage chercher mon autre frère ainsi que a mère pour les mettre en sécurités pendant que d'autres cherchaient de quoi éteindre le feu. Moi, fou parmi les hommes, emporté par une exaltation dont j'avais oublié la splendeur le long des années, je restais sur place, fixant mon géniteur. Mon orgueil et ma folie m'empêchaient de bouger. Mon orgueil tout d'abord, refait de laisser l'homme qui se tenait face à moi gagner dans sa certitude de me voir agir en lâche. IL ne gagnerait pas cette partie là. J'avais assez fuit. La folie ensuite, celle-ci voulait voir la souffrance sur les trais figés de mon père quand les flammes se mettraient à lécher son veston puis son corps. Je désirais et, sans mauvais jeu de mots, je brûlais de mon envie de le voir périr.
Cela n'est pas arrivé. Bien trop vite à mon goût, la fumée a envahit mes poumons et m'est montée à la tête, réduisant mon corps en un tas de chiffon tordus jetés négligemment sur le sol.

Ma mère et mon frère -l'héritier- qui avaient étés protégés par les domestiques s'en sont sortis sans dommage ainsi que quelques servants -ceux qui n'avaient pas étés réveillés par l'altercation-.
Personne n'avait pu raconter l'histoire car les personnes présentes avaient péris où s'étaient volatilisés... Quelques rumeurs ont bien circulé mais personne n'y a vraiment crut -je n'avais, je le rappelle, que douze ans-.
Il m'a fallu un certain tant pour me rétablir mais cela ne prit pas non plus une éternité. A mon retour dans la vie hors de ma chambre d'hôpital, mon frère, en tant qu'héritier, était à la tête de notre fortune et avec ses dix huit ans d'éducations dans ce seul but, il s'en sortait plutôt bien. Ma mère avait perdu de son éclat car, malgré le salop qu'il a pu être, elle avait sincèrement aimé mon père. Elle n'était donc aujourd'hui plus qu'une veuve parmi tant d'autre, restant enfermée dans sa chambre entourée de photographie inutiles se qui la faisait baisser dans mon estime.
Mon frère m'a laissé tranquille. Il continuait de payer pour mon éducation mais ne s'intéressait toujours pas à moi, bien trop prit qu'il l(était par sa nouvelle charge. Je ne lui en voulait pas. Je n'ai en fait aucun souvenir d'une fois ou je lui en ai vraiment voulu pour quelque chose. C'est bien simple, il a toujours été mon idole... Il était généreux, brillant, aimé, beau, absolument parfait.
Je pense qu'il ait mon plus grand point faible... Même s'il ne s'en rend pas compte et que, aujourd'hui, il me hait, je serais anéantit s'il lui arrivait quoi que ce soit.

Ainsi je grandissais et mon goût pour la souffrance évoluait avec moi, sans que personne ne s'en rende vraiment compte...




¨ Chapitre II ¨
¨ Corps et âme ¨
[ Âmes sensibles s'abstenir ]


A nouveau je me permet une avance rapide d'une dizaine d'années -huit au total-, car celles-ci sont assez répétitives. J'apprends l'éthique, ce qui est bien et ne l'est pas, je découvre le rôle des dieux dans notre société et on m'apprend à gérer une fortune. De plus, de manière officieuse, je me rend chaque matins dans la forêt et je m'adonne à mon plaisir le plus secret. Avançant à tâtons, je découvre jours après jours comment amener un être jusqu'à la souffrance la plus pure. Jusqu'à ce que l'esprit flotte dans un état second, déconnecté de la réalité, seulement conscient de ses nerfs à vifs et de son cerveau sur le point d'exploser. J'appris à briser un homme.
Mon frère avait vingt huit ans et vivait son premier grand amour. Il s'appliquait avec un acharnement de dément à faire la cours à la dame de son coeur...
Je ne pouvais laisser faire ça. L'amour est une faiblesse. Mon frère c'est fait des dizaines d'ennemis qui n'hésiteraient pas un seul instant à exploiter cette faille dans son armure et se servir d'elle contre lui.
Je devais agir au mieux pour lui. Je savais qu'il allait me haïr mais je n'en avais cure. Seule sa vie comptait et je ne pouvais pas permettre qu'elle soit mise en danger.
J'ai donc mis au point un plan.
J'avais besoin qu'il ait le coeur brisé pour qu'il s'endurcisse. Elle devait mourir et j'ai fait ce qui devait âtre fait, sans remord.
Un soir, dissimulé dans la chambre de celle qui aurait pu devenir ma belle soeur, j'ai allumé un camescope que j'ai placé face au lit et je l'ai attendu. Le temps qu'elle me remarque, j'avais déjà fermée la porte à double tour et éteint la plus part des lumières.

Elle ne comprit pas ce qui se passait quand je la poussait sur le grand lit en fer forgé et que je l'attachait aux barreaux. Sortant mon couteau, je l'ai laissé scintiller quelques secondes à la lumière d'une bougie pour ajouter à l'effet dramatique de la scène et j'ai sourit, prédateur jusqu'au bout des ongles...

«- Souris, tu es filmée. »

Déjà la lame avait quitté le feu et se précipitait vers la jeune femme, arrachant sa chemise du geste vif et précis de celui pour qui ce n'est pas la première expérience. Terrorisée, ma victime c'était mise à hurler quand j'avais libéré mon érection du pantalon de cuir qui la retenait prisonnière pour me dresser droit et dur face à elle.
Me penchant sur elle de manière à laisser mes gestes biens visibles pour le camescope, je baissais sa jupe et la pénétrait d'un coup de rein, violent et sans pitié.
Durant tout le temps où je la besognait, elle a hurlé de douleur si fort que je ne devais pas être le seul à l'avoir entendue. Quand enfin, je me suis retiré après avoir joui en elle, un petit filet de sang s'écoulait de ses cuisses au même rythme que les larmes qui ruisselaient le long de sa joue.
Mais son supplice était loin d'être fini
Pour qu'il souffre assez pour refuser l'amour, aucun supplice ne devait lui être épargné.
Ainsi, je passais plusieurs heures sur elle, me délectant de chacun de ses cris. De la violence gratuite... Rien de mieux pour rendre chacune de ses pensées incohérentes.
Je jouais de ma lame comme d'un fouet, promenant son tranchant tout doucement sur sa peau. Elle était si bien aiguisé qu'une rayure sanguinolente suivait sa trace. Une fois mon circuit bien dessiné, je m'étais éloigné de l'angle de vue de la vidéo pour récupérer un petit sachet dans mon sac avant de revenir sur le lit.

«- Tu te demandes ce qu'il y a à l'intérieur n'est-ce pas? Tu espères peut-être que ça te tueras, que ça abrégera ta souffrance... Je vais te laisser le découvrir. »

Du sachet je sortais une poignée de cristaux d'un blanc très pur à peine plus petits qu'un noyaux de cerise. Je faisais rouler a main, frottant ainsi les cristaux les uns contre les autres, produisant une fine poudre qui venait former une pellicule blanchâtre sur ma main. Une fois celle-ci bien recouverte, je me débarrassais des gros morceaux et lui montrait ma main.

«- Il s'agit de sel... Je suis sûr que tu connais la propriété de ce minéral. »

Et sans attendre plus longtemps, je plaquais ma main sur sa blessure, lui tirant un cri de douleur qui devrait rendre magnifiquement bien sur la vidéo. Ma main, agile malgré cette mousse qui la recouvrait, parcourait son ventre le long de sa plaie...

Le corps inerte de la défunte face à moi était maculé de sang, ses cheveux avaient étés arrachés et ses poignets étaient à vif tant elle avait tirée sur ses liens... Et je souriais toujours pour la caméra derrière mon masque noir.

«- Bonne nuit mon ami. »

Sur ce dernier mot, je coupais le camescope et passais le reste de la nuit à nettoyer la chambre. Je me débarrassais des draps ainsi que du matelas et lavais à l'eau de javel la jeune femme qui avait été autrefois très belle.

Au petit matin je rentrais chez moi, épuisé, Je glissais la cassette sur le bureau de mon frère et disparaissais jusqu'au milieu de la journée...

«- Salopard! Immonde cloporte insignifiant! Je vais te détruire! »

Comme prévu, il avait deviné que c'était moi sans pour autant avoir de preuve... Bien sur, il ne pouvait comprendre que j'avais agi pour son bien et il ne s'en rendra sans doute jamais compte.
Il n'a pas mentit. Il m'a détruit. Il était si furieux qu'il n'a pas remarqué que je ne me défendais pas. Je pense qu'il s'en fichait. Il voulait me faire du mal... Je comprenais.
Il m'a mit à la porte du domaine avec deux cotes fêlées et une demi-douzaine de bleus. Il était cependant trop généreux pour m'abandonner à mon sort. Il m'a donc donné de quoi vivre jusqu'à mes quarante ans de manière très convenable, un autre signe de sa faiblesse d'âme.

Je n'ai jamais été jugé pour meurtre et la vidéo n'a jamais été partagée avec les autorités cependant tout le monde avait sut d'une manière ou d'une autre ce qui c'était passé cette nuit là et surtout, que j'en étais le responsable. Cela m'allait très bien. On me laissait tranquille la plus part du temps et mon nom pourtant agréable à l'oreille sonnait comme un coup de poignard.


¨ Chapitre III ¨
¨ Une réalité... ¨
Ma réalité avait bien changé. Je logeais à présent dans un duplexe qui illustrait à lui seul mon célibat, mon désintérêt total pour le ménage et l'absence d'esclave dans ma maison. Bien sûr en tant que maître je pouvais en avoir, c'était même très conseillé, cependant aucun de ceux que j'avais eu ne m'avaient convaincus.
La première était une humaine terrorisée par ce nouveau monde qui se mettait à pleurer avant même que je lève mon fouet, ce qui ne présentait pour moi absolument aucun intérêt. Le second était encore moins capable que moi de tenir un lieu propre et le dernier même s'il était plutôt amusant à la nuit tombé se conduisait très mal quand je le sortais et mettait ma vie sociale en danger. Ainsi ils avaient tous été, d'une manière ou d'une autre, une déception.
J'avais donc décidé de ne plus prendre de créatures avant d'en trouver une absolument parfaite qui satisfasse mes demandes.
Ainsi, si je n'avais pas été moi -et je parle ici de mon nom et de mon passé-, je serais devenu la risée de tous et de toutes. Un maître sans esclave, ça ne présente pas très bien...
Je m'étais cependant satisfait à cette pensée en me distrayant sur des créatures consentantes tels que des Indépendants ou d'autres Maîtres.
Mais est-ce que je vais changer d'avis à l'avenir?

¨ Epilogue ¨

Ma vie n'a rien de fantastique, elle est juste un peu étrange. Cependant je n'en ai pas honte et je n'éprouve aucun remord pour tout ce que j'ai fais -il y a bien de choses qui ne sont pas citées dans ce texte-. Je suis ce que je suis et je le suis devenu en toute connaissance de cause.
Vous avez quelque chose à redire à cela?





« Toi derrière l'écran »

    Gwenael Ô'Riain → Fin 305746gwenicone5
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    SURNOM(S) : Bin Gwen ça ira Very Happy
    AGE : ///
    Avis sur le forum : je viens d'arriver mais pour l'instant, bien!
    Code : Validé par Gaby ~


Dernière édition par Gwenael Ô'Riain le Mar 5 Juil - 19:38, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Gwenael Ô'Riain → Fin Gwenael Ô'Riain → Fin EmptyMar 5 Juil - 12:01

Bienvenue Gwenael ~

Bonne chance pour la finissions de ta fiche qui pour le moment me paraît très bien.

Et au passage, j'adoooore ton kit *se jette des fleurs* /BUS/
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Gwenael Ô'Riain
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MessageSujet: Re: Gwenael Ô'Riain → Fin Gwenael Ô'Riain → Fin EmptyMar 5 Juil - 19:41

Merci beaucoup!

Justement j'ai fini même si je n'ai pas changé grand chose Smile

Et je suis absolument d'accord! Ce Kit est bien l’œuvre d'une déesse Cool
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MessageSujet: Re: Gwenael Ô'Riain → Fin Gwenael Ô'Riain → Fin EmptyMar 5 Juil - 19:42

Eh bien tout est bon, je déplace et je te donne ta couleur ~

<3 En espérant que tu t'amuseras bien parmi nous.
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MessageSujet: Re: Gwenael Ô'Riain → Fin Gwenael Ô'Riain → Fin Empty

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